La FONAB se rend régulièrement sur le terrain pour écouter, observer, et documenter ces situations.

Une membre de la Fondation Aboubaka (FONAB) visite une école dans une zone défavorisée, où les structures sont fragiles mais la volonté d'apprendre reste forte. Cette présence sur le terrain témoigne de notre engagement à être aux côtés des enfants et des enseignants, à comprendre leurs besoins et à chercher des solutions concrètes. Chaque pas compte dans la construction d'un avenir meilleur.

L'éducation, une urgence silencieuse dans les zones défavorisées

Des enfants motivés malgré la précarité


À travers ces images, nous découvrons non seulement une réalité souvent ignorée, mais aussi une source d'inspiration. Leur courage nous pousse à continuer notre mission.

Présence sur le terrain : comprendre pour mieux agir

À côté des salles de classe, les conditions d'infrastructure sont souvent très fragiles. Des abris en tôle ou en bâche servent encore de locaux scolaires dans certaines communautés.

La Fondation Aboubaka (FONAB) ne se contente pas de constater : elle se rend sur le terrain, échange avec les enfants, les éducateurs et les familles pour mieux comprendre leurs besoins.

Cette proximité nous permet de cibler nos actions de manière efficace. Chaque visite est une promesse de solidarité.

Ensemble, faisons la différence

L’éducation, une urgence silencieuse dans les zones défavorisées

Cette photo montre une salle de classe improvisée, construite avec des bâches et des poteaux de fortune. Les bancs en bois sont usés, le sol est en terre battue, et l'environnement est loin d'être sécurisé ni propice à l'apprentissage.

Et pourtant, c'est ici que des enfants viennent étudier chaque jour, portés par leur soif de savoir.

« Là où l'école est fragile, l'avenir l'est aussi. Aidons-les à bâtir les fondations de demain. »

Dans l'ombre des grandes villes, des enfants grandissent sans lumière. Leur salle de classe est un abri troué, leur pupitre un banc usé, leur espoir suspendu à un avenir incertain. Ils apprennent sous la chaleur, la faim et parfois la peur… Pourtant, ils rêvent encore. Leur douleur est silencieuse, mais réelle. Ne les oublions pas.